Pourquoi l’immobilier à Montréal est un bon choix à long terme ?

Plus de 15 000 transactions résidentielles sur l’île de Montréal ont été enregistrées en 2015, soit une augmentation de 9 % par rapport à l’année précédente.

Le reste du Grand Montréal a connu des augmentations de ventes plus faibles, quoique toujours importantes : 3 % à Laval, 5 % sur la Rive-Nord et 6% sur la Rive-Sud. De toute évidence, le marché immobilier de Montréal est sain. Pourquoi ne pas profiter de cette tendance?

Croissance du marché

Depuis l’automne dernier, il y a eu un bond notable, explique Paul Cardinal, directeur de l’analyse de la Fédération des chambres immobilières du Québec (QFREB). Dans l’ensemble, les prix n’ont pas beaucoup augmenté, mais sans aucun doute les ventes ont augmenté.

Voici quelques conseils pour investir dans cette région :

Les chiffres des 20 à 25 dernières années sont encore plus impressionnants. Depuis la fin des années 1990, le marché de Montréal a connu une forte croissance constante. Selon QFREB, le prix des maisons à Montréal a augmenté en moyenne de six pour cent par an depuis 2000. Seulement trois ans ont enregistré une baisse des prix depuis; la baisse la plus importante n’a été que de 4 %. Cependant, au cours de huit des 15 dernières années, le prix moyen a augmenté de plus de 10 %. On voit que les prix sur l’île de Montréal ont tendance à augmenter en premier, avec ceux de la banlieue l’année suivante.

Comparaison des marchés urbains au Canada

Montréal est la grande ville la plus abordable du Canada et l’une des plus abordables d’Amérique du Nord. L’immobilier montréalais bénéficie de l’économie diversifiée de la ville. Puisque l’économie de Montréal ne dépend pas d’une seule industrie ou ressource, comme le gaz, elle est beaucoup moins affectée par les hauts et les bas des différents secteurs.

Cela permet d’expliquer la croissance presque continue de la valeur des propriétés à Montréal au cours des 35 dernières années. À Toronto, les prix des logements ont augmenté en moyenne de 7 % par an depuis 2000. Bien que ce soit un point supérieur à celui de Montréal, Toronto a également connu trois années de baisses supérieures à 5 %. Vancouver et Calgary ont connu des tendances similaires.